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 Eryn, Bâtisseuse. [ Mocerino, Administratrice. ]

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Eryn

Eryn


Messages : 6
Date d'inscription : 15/11/2009

Eryn, Bâtisseuse. [ Mocerino, Administratrice. ] Empty
MessageSujet: Eryn, Bâtisseuse. [ Mocerino, Administratrice. ]   Eryn, Bâtisseuse. [ Mocerino, Administratrice. ] EmptyMer 18 Nov - 11:04

• Votre Perso •



    Prénom :
    Eryn.
    Nom :
    Inconnu.
    Date de naissance :
    21 mai 1989.
    Famille (si Métamorphe, précisez en quel animal) :
    Bâtisseuse.
    Métier (facultatif, uniquement pour les adultes) :
    Etudiante en architecture.
    Rang :
    Chef de Famille.

    Apparence Physique (5 lignes minimum) :
    Deux beaux yeux bleus croisent votre regard. Vous êtes pris sous le charme de ces puits magnifiques, dès l’instant où vous les voyez. D’une couleur saphir des plus intenses, ils sont expressifs, pétillants. Des cils recourbés rehaussent le regard de la jeune femme, ses sourcils fins et arqués ajoutent de la volupté à son visage. Sa peau pâle, laiteuse, lui donne la beauté d’une déesse nordique. Son petit nez se relève légèrement, lui donnant un air félin des plus attendrissants. Ses lèvres pulpeuses sont rosées, douces. Effleurez sa joue ; sa peau a la texture de la soie, sans imperfections telles que des boutons ou des grains de beauté. Son visage est joli, bien dessiné, avec sa pâleur opaline et ses traits féminins. Qu’il soit souriant ou grimaçant, il garde une certaine beauté, une noblesse sempiternelle. Son port de tête est altier, royal, accentuant cette impression de faire face à une princesse étrangère mais sans arrogance, avec juste cette élégance intimidante. Laissez vous prendre au piège de son regard de saphir, vous ne saurez point vous en délivrer seul : il faudra pour cela l’intervention d’un camarade qui vous pousserait où que ce soit la belle qui détourne le regard, par désintérêt ou par mépris. Une cascade de courts cheveux blond cendré vient rappeler, une nouvelle fois, la beauté de Freyja, déesse nordique.

    Son corps ? Son corps est normal, malgré sa petite taille. Car oui, la meneuse des Bâtisseuses est petite, avoisinant le mètre soixante. C’est ridicule, risible. Malgré toute sa beauté, elle a à peine la taille d’une adolescente. Comment se dire que cette jeune étudiante est une des plus grandes puissances, économiquement parlant ? L’expression « l’habit ne fait pas le moine » se justifie. Sous les jolis sourires de cette femme menue et petite peut se cacher une toute autre personne. On la mets en colère, ses yeux s’étrécissent, à la manière d’un félin. Sa respiration se fait plus bruyante, plus insistante. Son visage se durcit, sa mâchoire se crispe. Ses doigts, longs et fins, se serrent contre sa paume, sa main devenant un poing. Son regard perçant se plante dans vos prunelles, tandis qu’elle vous jette une réplique dédaigneuse ou haineuse, glaciale en tout cas. Une sorte d’aura semble émaner d’elle, vous empêchant d’avancer, vous fascinant et vous terrifiant. Ne la regardez pas. Ne la regardez surtout pas. Car si vous laissez vos yeux retenir son image, vous ne l’oublierez plus jamais. Elle hantera vos songes, tourmentera vos pensées. Sa beauté fait des ravage, et, hélas, elle ne s’en rends point compte ..

    Mais que sait-elle faire de son corps ? Attirer les regards, le mettre en valeur, c’est sûr. Mais se contente-t-elle à cela ? Non, bien sûr que non. Elle est une excellente athlète, aussi bien au saut qu’à la vitesse, aussi bien au lancer qu’à l’endurance. Elle s’entraîne souvent, certes, mais cela aura porté ses fruits : elle est capable de démarrer au quart de tour et de courir à une vitesse impressionnante pendant un long moment. Cela compense sûrement le fait qu’à part se servir de son arme, un Beretta 92, elle ne sait pas réellement se défendre. Et même, en général, elle ne tire pas, il lui suffit de braquer son arme sur une personne pour qu’il cesse. Mais si les gens sont eux aussi armés ? Que fait-elle ? Elle court, elle s’enfuit, lâche petite jeune femme, tout en tirant derrière elle, esquivant du mieux qu’elle peut et bougeant le plus possible pour faire une cible presqu’impossible à atteindre. Aussi, là où d’autres seraient partis en courant sur une ligne droite, elle zigzague, saute, tourne là où on s’y attends le moins. Elle connaît Paris comme sa poche, et il suffit de la voir s’enfuir pour le comprendre : pas une hésitation, pas un moment à l’arrêt.

    Caractère (5 lignes minimum) :
    Comment définir le caractère d’Eryn. Voici une tâche bien difficile, ma foi, étant donné que la jeune femme est relativement lunatique. Aussi je vais faire de mon mieux, la décrivant le plus fidèlement que je le puisse.

    Tout d’abord, sachez qu’Eryn est cynique. Très – voir trop. Mais tout d’abord, que veux dire cynique, demanderont certains ? Effrontée. Insolente. Elle vous enverra des piques sans raison, mauvaise. Et si vous lui répondez, vous vous engagerez dans une joute verbale dont vous ne ressortirez pas gagnant. Les mots, c’est ce qu’elle sait le mieux manipuler. Convaincre quelqu’un par ses discours, décrire sa pensée de manière précise, manipuler les gens aussi, c’est dans ses cordes. C’est même une des rares choses où elle est douée, avec le dessin. Prenez donc garde : en plus d’être une sublime créature, c’est une belle parleuse. Et sans scrupule.

    Oui, sans scrupule. Vous l’avez énervée ? Elle se vengera, que ce soit d’une manière horrible, telle que vous emmurez vivant dans une construction, ou d’une façon plus perfide, ruinant votre réputation par exemple. Enfin, ce sont des cas exagérés : elle trouvera, en général, une bonne manière de vous faire payer votre erreur et tout sera réglé. Cela dit, elle est, en général, la reine des représailles tardives : ne dit-on pas, après tout, que la vengeance est un plat qui se mange froid, voir très froid ? Cela, elle l’a bien compris, et si elle peut vous surprendre en se vengeant plusieurs années après avoir été blessée, elle ne se gênera pas, savourant chaque instant la rapprochant du jour J avec une délectation malsaine. Une partie d’elle-même est consternée et l’autre, plus forte, jubile. Schizophrène ? On peut dire, en effet. Elle souffre également d’hallucinations auditives : lors de ses crises de schizophrénie, elle entends des voix lui murmurer des choses qu’elle ne comprends pas, et il n’est pas rare qu’elle croie entendre les murs lui parler. Est-ce lié à sa Famille ? Aucune idée. Il y a juste qu’elle perçoit ces voix et que ça la rends folle. Durant ses crises, elle fait mal. A qui ? A elle, à son âme, à tous ceux qu’elle croise. Il y a bien longtemps qu’elle l’a compris. Elle tente de combattre, s’enfermant dans des pièces au prix d’efforts monumentaux. Et elle reste là, en larme, se frappant elle-même, se mutilant avec ce qu’elle trouve. Pourquoi croyez vous qu’elle ne va jamais à la piscine ? Montrer son corps couturé de cicatrices serait trop dur pour elle, jolie poupée de porcelaine ..

    Il se trouve en effet que la magnifique est vaniteuse. Elle déteste les critiques, haussant les épaules quand on lui en fait, vexée au plus profond d’elle-même. Oh, elle le cache, bien sûr, mais vous lui faites mal. Moquez vous gentiment sans arrêter lorsqu’elle vous le demande et vous aurez toutes les chances de la voir partir d’un pas rageur en vous insultant sans que vous ne compreniez. Puérile jeune femme, incapable de supporter les avis néfastes sur elle. Oh, elle dit qu’elle acceptera les critiques, que ça l’aidera à grandir, quand elle est dans ses beaux jours. Mais est-ce la vérité ? Non, bien sûr que non. Au fond d’elle, elle se sait beaucoup trop immature et attachée à sa personnalité pour changer. Elle ne peut nier qu’elle apprécie ce masque qui la cache, sans avoir conscience que ce visage qu’elle se borne à montrer est pitoyable, lamentable. Une femme antipathique, casanière et rancunière doublée d’un esprit double torturé et vicieux, adepte au punk rock. C’est ridicule. Mais sa vanité l’empêche de montrer son vrai soi, une partie d’elle qui ne demande qu’à être écoutée, rassurée, protégée. Protégée, elle l’est, mais par qui ? Par des murs et des gardes qu’elle ne connaît pas ? Par cette forteresse qu’elle a érigée autour de son âme ? Elle ne sait pas. Elle aurait juste besoin de quelqu’un qui l’aime, de quelqu’un qui la comprenne ..

    Histoire (10 lignes minimum) :

• Vous •
(facultatif)


    Prénom / PUF :
    Mocerino.
    Âge :
    Douze ans.
    Comment trouves-tu le forum ?
    J’ai pas d’avis.
    Divers :
    Nop.

Je bouffe tout rond le premier qui poste.


Dernière édition par Eryn le Sam 28 Nov - 9:34, édité 5 fois
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Eryn

Eryn


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Date d'inscription : 15/11/2009

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MessageSujet: Re: Eryn, Bâtisseuse. [ Mocerino, Administratrice. ]   Eryn, Bâtisseuse. [ Mocerino, Administratrice. ] EmptyMer 18 Nov - 11:20

« Last night on Earth. »

« L'un t'éclaire avec son ardeur,
L'autre en toi met son deuil, Nature !
Ce qui dit à l'un : Sépulture !
Dit à l'autre : Vie et splendeur !

Hermès inconnu qui m'assistes
Et qui toujours m'intimidas,
Tu me rends l'égal de Midas,
Le plus triste des alchimistes ;

Par toi je change l'or en fer
Et le paradis en enfer ;
Dans le suaire des nuages

Je découvre un cadavre cher,
Et sur les célestes rivages
Je bâtis de grands sarcophages. »

Charles Baudelaire, Alchimie de la douleur.



    Ploc. Ploc.
    Le ciel pleure, pleure sa défunte amie. Ses larmes résonnent à grand fracas, brisant le silence de la nuit. La femme repose, pâle, délaissée par la vie. Penché sur elle, sa tristesse égale à celle du firmament, un homme sanglote, pauvre être brisé dont les lamentations montent vers le ciel. Non loin gît un enfant. Est-il en vit ? Est-il mort, lui aussi ? Il est impossible de répondre. L’homme ne lui prête pas attention, occupé à pleurer sa défunte aimée, sous l’œil attristé de la voûte céleste. La femme, bien que décédée, n’a point été abandonnée par Aphrodite : elle repose, noble, dans un écrin de cheveux blonds. Son visage est paisible malgré la douleur de sa mort, et sa robe maculée de sang fait ressortir son teint d’opale. Elle est belle, si belle ..

    Ploc. Ploc.
    La lune rit, rit de voir un spectacle si pathétique se dérouler sous ses yeux. Les musculeuses épaules de l’homme se soulèvent par intermittence tandis qu’il geint, lamentable. Et ce ridicule nourrisson immobile, sur le côté, encore ensanglanté .. N’aura-t-il pas suffit de sa naissance pour que celle qui l’a mit au monde ne décède ? C’est pitoyable, risible. Ce petit être aura tué une femme, avant de peut-être mourir lui-même .. Les étoiles semblent rire de la peine de l’homme, pauvre être puéril et coupé du monde. Et son enfant ? Il ne s’en occupait guère ? Il lui en voudrait sûrement toute sa vie d’avoir tué sa mère ou s’y raccrocherait fébrilement, ridiculement.

    Une porte claque. Une femme sort, puis un cri retentit. Elle rouvre la porte, se précipite chez elle. L’homme est toujours en train de pleurer, ignorant le ballet qui va bientôt se dérouler autour de lui. Peu à peu, le silence est percé par les sirènes des ambulances, mais il sait qu’il est trop tard. Il sait qu’il l’a perdue, que rien ne peut la ramener à lui. Elle l’a quitté .. Il s’effondre, s’écroule. Pathétique .. Les secours arrivent, comprennent. Un silence se fait, brisé par les monotones sirènes des ambulances. Une femme finit par s’approcher de l’homme, le relève sans ménagement et le tire vers une ambulance, lui masquant tant bien que mal la vision du corps ensanglanté de sa bien-aimée. C’est le signal du début. Le ballet des ambulanciers commence à se dérouler entre le corps et l’enfant, entre le père et le bébé. Et puis, d’un coup, un cri fuse.

    « Le môme est vivant ! »

    Le père lance un regard vide vers le petit être qu’on lui amène. Il ne comprends pas. C’est donc lui qui a tué sa femme .. ?

    Le lendemain.
    L’homme dépose un panier sur les marches du parvis. Il sait très bien que c’est vieillot, ancien, mais il ne sait pas quoi faire d’autre. Son regard se fait triste, et il se penche pour effleurer timidement le front de sa fille – car c’est une fille ! Puis il se relève, part, en murmurant une dernière fois quelques mots :
    « Adieu, ma chérie .. »
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Eryn

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MessageSujet: Re: Eryn, Bâtisseuse. [ Mocerino, Administratrice. ]   Eryn, Bâtisseuse. [ Mocerino, Administratrice. ] EmptyMar 1 Déc - 13:45

« This is my nightmare. »

« C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit..
»
Arthur Rimbaud, le Dormeur du Val.



    Eryn se retourna dans son lit. Elle tremblait, en sueur. Penchée sur elle, Sœur Marie-Charlotte, une religieuse, se mordit la lèvre, inquiète. Elle ne savait que trop bien de quel mal souffrait la petite. Elle savait combien cela serait horrible pour elle. Que devait-elle faire ? Laissant l’enfant se débattre sous ses couvertures, elle s’approcha de la fenêtre. Elle était difficile à déverrouiller et trop petite pour que l’on sorte. Ce n’était qu’une sorte de meurtrières, l’Institution étant un ancien château. Bon. Il n’y avait que cette solution là ? Alors soit, elle le ferait. Après une brève prière, implorant Dieu que tout se passe bien, elle appela les autres personnes dans la pièce.
    « Mes sœurs .. Nous allons devoir enfermer la petite. Il faudra attendre qu’elle ne pleure pour lui rouvrir. »
    Surprises, les femmes acquiescèrent sans mot dire. Elles sortirent, verrouillant derrière elles. Sœur Marie-Charlotte ferma les yeux, plaquant ses mains à plat sur la porte, approchant son visage du bois vermoulu.
    « Oh Seigneur, ne la faîtes pas souffrir, je vous en prie .. »

    Les yeux bleus d’Eryn s’ouvrirent. Elle était immobile, désormais, sortant brutalement dans sa fièvre. Lentement elle roula sur le flanc, puis s’assit sur le bord de son lit. Ses prunelles, glaciales, détaillèrent la pièce. De petite taille, elle était peu meublée, juste un lit, une commode et un bureau. Le plafond était bas, l’endroit peu accueillant mais elle s’y savait chez elle. Cela faisait douze ans, douze ans !, qu’elle vivait dans cette petite pièce sordide. Il était temps que ça change. Elle ne resterait plus longtemps esclave de son respect envers la Mère supérieure. Elle se leva, silencieuse. Instinctivement, elle se dirigea vers la porte. Sa main effleura la poignée, puis, comme contre son gré, elle tourna. Rien. C’était contrariant. Elle réessaya, tournant de l’autre côté : même résultat. Frustrée, elle fit un pas en arrière jaugeant la porte. Un simple panneau en bois la séparait de sa liberté. C’était ridicule. Elle donna un violent coup de pied dans la porte. Elle était donc contrainte à vivre ainsi, comme un lion en cage ? Elle, Eryn, se savait supérieure aux autres habitants du château, mais telle le roi des animaux, elle était enfermée dans cet espace déraisonnablement petit. Il y avait de quoi rager. Elle se jeta contre la porte, tentant de la faire céder. Rien. Ses mains s’aplatirent contre le panneau de bois. Un léger « clic » se fit entendre.
    Puis il y eut les chuchotements.
    A peine avait-elle comprit que la porte était déverrouillée que des milliers de murmures emplirent son esprit, la plongeant dans une panique fiévreuse, dans une terreur sans nom. Elle s’effondra au sol, tenant sa tête à deux mains, hurlant de douleur, sa voix aigüe brisant le religieux mais oppressant silence. Elle ne voulait pas vivre cela. Elle ne voulait pas que son existence se résume à ces murmures, à cette chambre sordide et à ce Dieu suprême en lequel elle ne croyait pas. Et ces voix, ces voix qu’elle ne comprenait pas, emplissaient sa tête, entêtantes, narquoises. Un long frémissement, lent, la prit, se délectant de sa peur, non, de son horreur.
    Lentement, très lentement, elle se laissa glisser sur le flanc gauche, s’allongeant contre la porte à même le sol, pourtant dur et froid. Ses yeux se fermèrent, tentant en vain de retenir des larmes. Frustration. Douleur. Rage. Elle ne voulait plus vivre cela. Elle voulait dormir, dormir et ne plus jamai s’éveiller, plongée dans un sommeil si profond que nul ne songerait à l’en sortir ..
    Une pensée s’empara d’elle.

    Pourquoi ?
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